Critique : Black Phone 2
J’aurais aimé que ce second coup de fil me glace (hé, hé) le sang. À la place, il murmure quelques bonnes idées avant de raccrocher poliment.
J’aurais aimé que ce second coup de fil me glace (hé, hé) le sang. À la place, il murmure quelques bonnes idées avant de raccrocher poliment.
Cette saison 2 de Gen V confirme ce que je pensais de la première : la série n’avait pas assez de souffle pour tenir sur la durée.
Alors oui, Smashing Machine traîne un peu quand ça cause cœur, mais voir The Rock livrer une performance aussi habitée, c’est un choc.
J’ai retrouvé Ghost of Tsushima, dans un décor légèrement différent. Pas honteux, mais fainéant. Un fantôme du fantôme, en somme.
Regretting You ne cherche jamais à sortir de sa zone de confort, mais réussit malgré tout à toucher, grâce à des moments d’émotion sincère.
Depuis un prank, on se retrouve avec une série drôle et touchante où Glen Powell se la joue Madame Doubtfire version football américain.
Si on veut vraiment comprendre le bonhomme et sa carrière titanesque, c’est clairement LE documentaire à voir.
A House of Dynamite reprend la structure de Rashomon pour mettre en scène un cauchemar moderne à travers un thriller tendu et captivant.
Ian Brennan signe une saison propre sur elle, joliment mise en scène, mais qui n’ose jamais plonger dans la folie de son sujet.
John Candy : I Like Me est un documentaire tendre et drôle. Il réussit à capter tout ce qui faisait de Candy un acteur à part.